Alors voilà, moi aussi je peux enfin l'affirmer avec fierté: je suis une endo-girl ! ( pour une fois que je suis dans le vent )
Depuis maintenant presque deux ans ( si ce n'est plus ), je souffre sans le savoir de cette ( pas si ) nouvelle ( que ça ) maladie à la mode, so 2016, dont on entend ( heureusement ) de plus en plus parler à droite et à gauche, sur les réseaux sociaux, dans les journaux, sur les plateaux de Sophie Davant et Michel Cymes, en couverture du Elle ...
Je veux parler de l'endométriose, cette anomalie féminine, qui touche plus d'une femme sur 10, si difficile à cerner et à identifier, car elle se camoufle ( la connasse ) derrière de "simples" règles douloureuses.
Alors certes, c'est un sujet délicat qui parle du fruit de nos entrailles féminines avec certains détails peu ragoutants, j'ai donc longtemps hésité à publier cette article, mais cette semaine est LA semaine. En effet, en raison de la journée internationale du droit de la meuf le 08 mars, l'association Endomind et notre nouvelle marraine Julie Gayet ( la presque madame Hollande ), ont mis un gros coup d'accélérateur pour mettre cette maladie peu et mal connue sous les feux des projecteurs.